Dès 1900, les véhicules construits par Gus et Jack Mack dans une petite usine de Brooklyn, sur les bords de la rivière Hudson, suscitent rapidement l’intérêt de ceux qui suivent de près la naissance de l’industrie automobile aux États-Unis. Mais, John M. « Jack » Mack et Augustus M. « Gus » Mack ont-ils conscience qu’ils fondent une marque qui deviendra iconique dans l’histoire du transport routier aux États-Unis ?
Avez-vous pris le temps d’aller visiter l’Expo Grands Travaux ? Les 26 et 27 mars derniers se tenait cet événement biennal, qui a lieu, désormais, à l’Espace de Saint-Hyacinthe. Bien entendu, cet événement semble destiné surtout à l’industrie de la construction, mais il y avait sur place plusieurs exposants, dont les produits peuvent aussi bien s’adapter au transport routier qu’aux travaux agricoles.
La traversée de 175 miles entre Columbus (Ohio) et Indianapolis a récemment servi de cadre à des essais de camions autonomes en convoi, dans le cadre d’un projet partiellement financé par le département des Transports des États-Unis. Les camions transportaient des marchandises pour Ease Logistics, une entreprise basée à Dublin, dans l’Ohio, dans le cadre d’une collaboration entre les départements des Transports de l’Ohio et de l’Indiana, selon DriveOhio, une agence dédiée à l’innovation dans la mobilité intelligente.
Depuis une quinzaine d’années, on voit de plus en plus de pickups avec remorques, utilisés pour le transport de marchandises, sur les routes québécoises. La pénurie de chauffeurs de camions lourds, combinée aux effets de la pandémie, a favorisé l’émergence de petites entreprises qui les utilisent. L’un des avantages de ce modèle : un permis de classe 1 suffit, contrairement au permis de classe 3 exigé pour les camions lourds.
Le président américain Donald Trump a signé, le 28 avril dernier, un décret exigeant plus de surveillance des camionneurs circulant aux États-Unis afin de vérifier qu’ils parlent et lisent l’anglais. Même si, l’année dernière, les agents de la Federal Motor Carrier Safety Administration n’ont sévi que dans 0,16% des inspections en ce qui a trait à la compréhension et la maîtrise de l’anglais
JCB, important constructeur britannique de machinerie lourde, vient d’annoncer qu’il prévoyait l’expansion de son usine d’assemblage de San Antonio, au Texas, dans le but d’éviter les tarifs américains imposés par le président Trump. Ironiquement, une image de ce projet a déjà été publiée en juin 2024. L’usine, déjà en reconstruction, verra sa surface passer à un million de pieds carrés, selon un communiqué du constructeur.