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Projet pilote d’écoroute d’hiver du chemin de la Grande-Ligne

Soucieux de l’impact environnemental des sels de voirie, le gouvernement du Québec, la Ville de Québec, la Municipalité des cantons unis de Stoneham et Tewkesbury et la Ville de Lac-Delage, en collaboration avec la Communauté métropolitaine de Québec (CMQ), annoncent leur partenariat dans le cadre du projet pilote d’écoroute d’hiver du chemin de la Grande-Ligne.

« La réduction de l’utilisation des sels de voiries sur le chemin de la Grande-Ligne permettra une meilleure protection des milieux naturels aux abords de ce tronçon. Ce projet-pilote est donc une excellente nouvelle et encourage un entretien plus écologique de nos routes en hiver, » a mentionné Benoît Charrette, ministre de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques.

Le député de Chauveau, M. Sylvain Lévesque, au nom du ministre des Transports et ministre responsable de la région de l’Estrie, M. François Bonnardel, a fait l’annonce du projet aujourd’hui. Pour l’occasion, il était accompagné du préfet de la MRC de La Jacques-Cartier et membre du comité exécutif de la CMQ, M. Michel Beaulieu, du maire de la municipalité des cantons unis de Stoneham-et-Tewkesbury, M. Claude Lebel, et du maire de la ville de Lac-Delage, M. Guy Rochette.

« Le ministère des Transports du Québec est un chef de file en matière de gestion des sels de voirie avec la Stratégie québécoise pour une gestion environnementale des sels de voirie. Nous sommes très heureux de collaborer avec les municipalités afin de gérer de façon plus écologique les fondants routiers, » a ajouté Sylvain Lévesque, député de Chauveau.

D’une longueur de 3,8 km, ce tronçon débute à la rue Jacques-Bédard, à Québec, et se prolonge jusqu’à la route de Tewkesbury (route 371), à Stoneham-et-Tewkesbury. Ce projet pilote consiste à adapter l’entretien hivernal en privilégiant les interventions de grattage de façon à réduire les impacts de l’utilisation des sels de voirie sur l’écosystème des zones plus vulnérables. Dans le cas du chemin de la Grande-Ligne, un des facteurs déterminants pour en faire une écoroute est sa proximité avec le lac Saint-Charles.

« Le lac Saint-Charles est victime de l’activité humaine; la réduction des sels de voirie est l’une des actions qui contribueront à préserver notre plus importante source d’eau potable. Du travail reste à faire pour les installations septiques et l’implantation d’infrastructures vertes, mais ensemble nous avançons, et sommes sur la bonne voie, » a déclaré le maire de la Ville de Québec, Régis Labeaume.

Source photo: Transports Canada

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